CENTRAFRIQUE: EXPLOITER UNE DISCIPLINE OUBLIÉE, LE SERVICE MILITAIRE OBLIGATOIRE PENDANT UN AN
Emmanuel Macron présentait, samedi 18 mars, sa politique de défense à l’hôtel des Arts et Métiers, à Paris. Principale annonce : le candidat d’En Marche ! compte instaurer, s’il est élu président, un « service national » obligatoire d’une durée d’un mois pour tous les jeunes.
« Ce service national universel, encadré par les armées et la gendarmerie nationale, s’adressera aux jeunes femmes et hommes aptes de toute une classe d’âge, soit environ 600 000 jeunes par an », a précisé le candidat. « Ce temps de service militaire universel devra intervenir dans les trois ans suivant le 18e anniversaire de chacun », a poursuivi M. Macron.
La légende du Vrai Service Militaire Obligatoire

HUMAN RIGHTS WATCHE DEVRAIT INITIER LES VILLAGEOISES AFRICAINES A EXPLOITER UNE RICHESSE OUBLIÉE ..... ET POURQUOI PAS?
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*** L'AFRICAIN D'ICI ET D'AILLEURS, QUAND SON PAYS SE DEVELOPPE SA FOLIE DESTRUCTRICE
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André Léopold REGNIER (iworlddabealvi)
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Alors que le récent rapport onusien sur les atteintes aux droits humains se gardaient de trop nommer de suspects, le rapport de l’ONG les cible directement. HRW donne les noms des groupes armés suspectés de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité. Parmi eux, le FPRC, principal groupe issu de l’ex-Séléka.
Ce 4 juillet, l’ONG Human Rights Watch a publié un long rapport de 101 pages, « Meurtres impunis : crimes de guerre, crimes conter l’humanité et la Cour pénale spéciale en République centrafricaine ».
Le rapport était prêt depuis quelques temps, mais a attendu : les équipes de HRW préféraient ne rien publier avant que ne soit rendu public le rapport de mapping de l’ONU. Entre le rapport de mapping et celui de HRW, complémentaires pour qui veut se donner une idée des dynamiques à l’œuvre en Centrafrique ces dernières années, une différence nette subsiste : les équipes de HRW peuvent plus facilement assumer de nommer les groupes dont elles pensent qu’ils se sont rendus coupables de violences. Parmi eux, le Front Populaire pour la Renaissance de la Centrafrique (FPRC) ou encore l’Union pour la Paix en Centrafrique (UPC), issus de l’ex-Séléka.
Des alliances et des scissions sur le dos des populations
Le rapport vient confirmer des dynamiques dont font état différents acteurs et observateurs : l’existence d’alliances de raison entre ex-anti-balaka et anciens Séléka notamment. « A la fin de 2016, les groupes anti-balaka dans le centre du pays se sont alliés avec le FPRC/MPC (…) et ils ont commencé à cibler les civils de l’UPC et appartenant à l’ethnie peule », assure ainsi le rapport.
Autre dynamique remarquée : les violentes concurrences qui ont suivi l’éclatement du bloc Séléka. En décembre 2016, des combattants de l’Union pour la Paix en Centrafrique (UPC) ont exécutés des dizaines de civils dans la région de Bakala selon le rapport. Parmi les victimes, des personnes suspectées d’être des sympathisants du FPRC. « Les exécutions ont eu lieu après les combats entre le FPRC et l’UPC pour le contrôle de la ville », continue le rapport.

Africatime