En période de crise politique, c’est celui qui est clair et déterminé qui entraîne.
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FINALEMENT POUR NOUS ÉVITER TOUTE TRACASSERIE, NOUS NOUS VERRONS DANS L'OBLIGATION DE RECONDUIRE Mme CATHERINE SAMBA-PANZA AUX DESTINÉES DU CENTRAFRIQUE POUR BOUCLER SON QUINQUENNAT .... Pas d'éléction avant 2020
Le plus désolant est de voir tous ceux qui s’enferrent dans des stratégies locales. Le paradoxe, inquiétant, est que jusqu’ici, la crise, omniprésente dans les esprits, n’a pas tenu du tout la place qu’elle mérite au sein de la campagne. Il serait faux de dire qu’elle a été absente. Elle a cependant été constamment enjambée par certains candidats ou candidates, comme s’il était possible et même imaginable de la contourner. Elle a été sous-estimée, comme escamotée dans les débats, y compris par les candidats les plus sérieux. En revanche, entre les utopies et les controverses, il n’y a pas eu la place pour un véritable débat sur la crise et les moyens d’en sortir.
Il n’est jamais agréable pour des citoyens d’avoir le sentiment que les candidats qui se présentent à leurs suffrages jugent la situation trop grave pour l’exposer aux électeurs. Il faut au moins espérer vivement que la campagne de l’entre-deux-tours sera sur ce point plus franche, plus authentique, donc plus crédible et finalement plus démocratique.
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