CENTRAFRIQUE UN GENOCIDE OUBLIE
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Prémonition? Vision? Bon sens? Quand elle était candidate à l'élection présidentielle en 2010/2011, elle avait tout dit, tout prévu, écoutez Marie-Reine Hassen.
"Le monde a abandonné trop de peuples en chemin. Nous faisons donc un appel pressant aux dirigeants africains, européens, américains, et au monde entier afin qu'ils réagissent pour mettre fin à cette tragédie à huis clos. Les violences importées s’aggravent de jour en jour, comprenant certains radicalismes religieux très dangereux visant la déstabilisation de l’Afrique Centrale. Ce n'est qu'une question de temps avant que des massacres de plus grande ampleur ne soient perpétrés." Marie-Reine Hassen
CENTRAFRIQUE : LE RISQUE D’UN GENOCIDE Publié par REGNIER ANDRE-LÉOPOLD
CENTRAFRIQUE UNE GUERRE CIVILE OUBLIEE
26 SEPTEMBRE 2015 | PAR JOSEPH AKOUISSONNE
RÉPUBLIQUE CENTRAFRICAINE
LA GUERRE CIVILE OUBLIÉE
Au début de la crise centrafricaine, fin 2012. Quand la France a décidé, d’envoyer ses troupes (Opération SANGARIS), pour aider un pays ami. Menacé par une guerre confessionnelle, et une intrusion de mercenaires musulmans, venus du Tchad, du Darfour, du Soudan. Pour renverser Bozizé. Djotodia, le chef rebelle, entra rapidement dans Bangui, et pris possession du Palais de la renaissance. Les séditieux, mirent en œuvre une islamisation généralisée de populations majoritairement protestante, catholique et animiste. En réaction des citoyens patriotes, sous le sobriquet des : « ANTIBALAKAS » s’opposèrent armes à la main à la coalition des rebelles de Djotodia et ses mercenaires. Ce qui eu pour conséquence d’obliger Djotodia à démissionner et ses rebelles de se retirer avec armes et bagages aux frontières Est, Nord et Nord- est du pays. LES FAUTES POLITIQUES DES TUTEURS INTERNATIONAUX ET DES AUTORITÉS DE LA TRANSITION Il fallait être aveugle ou attardé mental, pour ne pas se rendre compte, que dans ces conditions, la paix et la réconciliation étaient inatteignables. Ou, il ya eu des conciliabules avec les mercenaires, sur le dos des Centrafricains, avec la complicité des autorités de la transition. Et c’est une haute trahison de la part des autorités de la transition. Si épris du non comment comprendre la rationalité des gesticulations, de l’arrogance, et du mépris pour le Centrafrique, du General mercenaire de pacotille Darass ? Pourquoi, les forces internationales, en particulier la France, ont-ils manipulé les autorités de la transition, pour ne pas désarmer, au debout de la transition tous les rebelles et les mettre aux arrêts. Tout le monde savait que Bozizé, Djotodia et ses mercenaires musulmans, n’ont, et ne renonceront jamais à revenir au pouvoir, en Centrafrique par tous les moyens.
LES PRÉMICES D’UNE VIOLENCE PIRE QUE LE PRÉCÉDENT CHAOS SONT LA
Les Centrafricains doivent en prendre conscience. Des forces obscures veulent mettre la main sur leur pays. Ou le détruire. Quelque soit la démagogie lénifiante, de la notion de paix propagée par la communauté internationale pour anesthésier, les Centrafricains avant de les soumettre. Les patriotes centrafricains doivent se préparer, à défendre leur honneur et leur pays. Les événements ont largement démontrée que, personne ne le fera à leur place. La lutte va être rude et longue. Il faudra se battre sur deux fronts. Traquer les ennemis prédateurs de l’intérieur, et les empêcher de nuire. Ramener la paix et la réconciliation nationale en boutant, hors du territoire national tous les envahisseurs étrangers. Mission que n’ont pas pu accomplir les forces internationales. Aujourd’hui, pas un jour ne passe, sans que l’on apprenne que des Centrafricains sont tués par balles par des bandes armées. Violentés. Des villages brulés par les hommes de Darass. Les ex-Sélékas. Que les autorités de la transition n’arrivent pas à empêcher de nuire.
DES FORCES INFILTRÉES, ET PREPOSITIONNEES POUR L’ASSAUT FINAL.
L’état d’armement des ex-Sélékas, qui menacent d’envahir la capitale Bangui à nouveau, est phénoménal. Ces rebelles disposeraient d’armes lourdes, rutilantes, et en grande quantité. Hors mis le pillage des diamants, de l’or, et des bois précieux pour se fiancer. Certaines pétromonarchies, et certains pays voisins financent aussi, le terrorisme en Centrafrique. En outre, des éléments de Boko-Haram sont déjà dans la Capitale Bangui. Ils ont commencé à passer à l’action. Des signes qui ne trompent pas. L’attaque aux grenades dans le 6 ème arrondissement. A Fatima et à Petevo, ressemble aux méthodes des Kamikazes de Boko-Haram. La prochaine fois ce sera des Kamikazes humains. Des patrouilles de la MINUSCA, sont constamment attaquées. AfriqueNewsinfo le Site panafricain d’information, nous apprend l’incursion d’hommes armés à Bantagafo. La liste des menaces est longue. L’instabilité est grande. La situation semble échapper aux autorités de la transition. C’est pourquoi, malgré tout, nous ne pouvons que nous féliciter, de la prise de position commune des Antibalakas et des officiers libres contre une troisième transition. C’est peut-être eux, qui s’opposeront armes à la main aux envahisseurs étrangers. Le représentant de l’O.N.U. lors de son récent voyage à Bangui a insisté, et même en menaçant, que les élections doivent se dérouler, le 18 octobre prochain. Cela, contre la volonté des Centrafricains. Quel entêtement ! Quelle faute politique ! Quelle arrogance ! Les Centrafricains savent bien que la transition, actuelle a échouée dans ses missions régaliennes. Des élections en octobre son quasiment impossible. Il faut que les Centrafricains se mettent autour d’une table envisage autre chose pour pérenniser, leur pays dans la paix et la réconciliation. Ceci doit se faire sans le poids excessif des pays, dits amis. Le dernier mot, concernant l’avenir du pays de Bantous appartient aux Centrafricains. En Centrafrique aujourd’hui, c’est l’avenir de toute l’Afrique centrale qui se joue. Boko-Haram tu déjà des Tchadiens et des Camerounais. Ces fous de Dieu sont désormais en Centrafrique. Ce sera bientôt peut-être le tour du Gabon. Ainsi les Islamistes achèveront leur plan de faire régner, la loi de la Charria dans toute l’Afrique Centrale L’unité de l’Afrique Centrale pour luter cotre les fous de Dieu apparait urgente.
A. DE KITIKI 26 SEPTEMBRE 2015